Depuis quelques semaines, les prix de certains produits de première nécessité ont augmenté sur le marché. A Moundou, capitale économique du Tchad, les consommateurs ne cessent de se plaindre tous les jours.
Les piles par exemple qui se vendaient à 100 francs CFA la paire s’achètent de nos jours à 200 francs FCFA. Les rames de papier A4 qui s’achetaient entre 3000 et 3500 francs CFA se vendent aujourd’hui à 5000 francs CFA.
Les commerçants justifient cette hausse de prix par la fermeture de la frontière avec le Nigéria. "Les marchandises sont bloquées à la frontière et si d’ici peu le président de la République du Nigeria ne reconsidère pas sa décision, les prix vont tripler voir même quadrupler sur le marché", confie un opérateur économique.
"C’est un manque à gagner pour l'économie. Cette situation ne fait qu’aggraver la souffrance des tchadiens, surtout en cette période de crise", affirme un consommateur.
A cette flambée de prix vient s’ajouter la rareté du gaz dans la ville de Moundou. Certaines ménagères sont obligées de se promener avec les bouteilles vides de gaz, guettant les boutiques de recharges de la ville. Il faut toutefois être prompt pour réussir à obtenir du gaz, la demande étant très forte.
Dès qu’une boutique est approvisionnée, il ne faut que quelques minutes pour écouler les bouteilles de gaz.
Les consommateurs se disent dépassés et appellent le gouvernement à prendre des mesures afin de les soulager de cette situation qui ne fait que perdurer.
Les piles par exemple qui se vendaient à 100 francs CFA la paire s’achètent de nos jours à 200 francs FCFA. Les rames de papier A4 qui s’achetaient entre 3000 et 3500 francs CFA se vendent aujourd’hui à 5000 francs CFA.
Les commerçants justifient cette hausse de prix par la fermeture de la frontière avec le Nigéria. "Les marchandises sont bloquées à la frontière et si d’ici peu le président de la République du Nigeria ne reconsidère pas sa décision, les prix vont tripler voir même quadrupler sur le marché", confie un opérateur économique.
"C’est un manque à gagner pour l'économie. Cette situation ne fait qu’aggraver la souffrance des tchadiens, surtout en cette période de crise", affirme un consommateur.
A cette flambée de prix vient s’ajouter la rareté du gaz dans la ville de Moundou. Certaines ménagères sont obligées de se promener avec les bouteilles vides de gaz, guettant les boutiques de recharges de la ville. Il faut toutefois être prompt pour réussir à obtenir du gaz, la demande étant très forte.
Dès qu’une boutique est approvisionnée, il ne faut que quelques minutes pour écouler les bouteilles de gaz.
Les consommateurs se disent dépassés et appellent le gouvernement à prendre des mesures afin de les soulager de cette situation qui ne fait que perdurer.