Des forces de sécurité au poste frontalier de N'Gueli au Tchad. © DR
Le ministre de l'Administration du territoire, de la Sécurité publique et de la Gouvernance locale, Mahamat Abali Salah a annoncé ce jeudi 9 mai la descente d'une mission mixte CEMAC-Interpol sur le terrain dans différents postes frontaliers au Tchad à partir de juillet 2019. La mission effectuera une évaluation en vue du renforcement de la sécurité des postes frontaliers.
Cette décision a été prise à l'issue de la réunion du comité ad-hoc des ministres de la Sécurité et de l'Immigration de la zone CEMAC qui s'est tenue le mercredi 8 mai à Douala, au Cameroun.
La rencontre qui visait à analyser et adopter le rapport des experts, a permis de valider la liste des postes frontaliers des pays membres de la CEMAC retenus afin qu'Interpol procède à leur équipement, la formation du personnel et une interconnexion des bases de données.
De quatre à neuf postes frontaliers pour le Tchad
La réunion a permis de valider une nouvelle liste des postes frontaliers pour le Tchad dans le cadre de la coopération avec Interpol. Cette liste passe de quatre à neuf postes frontaliers au Tchad, compte tenu des nouveaux enjeux sécuritaires.
"La rencontre de Douala nous a permis de revoir les postes frontaliers retenus en 2013 au regard des enjeux sécuritaires actuels, en tenant compte de l'évolution du temps 2013 à 2019. Pour le cas du Tchad, en plus des quatre postes retenus en 2013 (aéroports de N'Djamena, Abéché, Moundou, Faya), nous avons ajouté d'autres postes à savoir le poste de Wour à la frontière avec la Libye, le poste de N'Gueli à la frontière avec le Cameroun, le poste d'Adré avec le Soudan, le poste de Daboua avec le Niger et l'aéroport d'Amdjarass", a expliqué Mahamat Abali Salah.
Dans le cadre de la mise en oeuvre de la feuille de route sur la libre circulation intégrale des personnes et des biens, la CEMAC a signé un accord d'assistance et d'expertise avec Interpol qui offre un service d'accès au réseau sécurisé mondial de communication policière. L'accord s'élève à un montant d'environ 5 millions d'euros.
Cette décision a été prise à l'issue de la réunion du comité ad-hoc des ministres de la Sécurité et de l'Immigration de la zone CEMAC qui s'est tenue le mercredi 8 mai à Douala, au Cameroun.
La rencontre qui visait à analyser et adopter le rapport des experts, a permis de valider la liste des postes frontaliers des pays membres de la CEMAC retenus afin qu'Interpol procède à leur équipement, la formation du personnel et une interconnexion des bases de données.
De quatre à neuf postes frontaliers pour le Tchad
La réunion a permis de valider une nouvelle liste des postes frontaliers pour le Tchad dans le cadre de la coopération avec Interpol. Cette liste passe de quatre à neuf postes frontaliers au Tchad, compte tenu des nouveaux enjeux sécuritaires.
"La rencontre de Douala nous a permis de revoir les postes frontaliers retenus en 2013 au regard des enjeux sécuritaires actuels, en tenant compte de l'évolution du temps 2013 à 2019. Pour le cas du Tchad, en plus des quatre postes retenus en 2013 (aéroports de N'Djamena, Abéché, Moundou, Faya), nous avons ajouté d'autres postes à savoir le poste de Wour à la frontière avec la Libye, le poste de N'Gueli à la frontière avec le Cameroun, le poste d'Adré avec le Soudan, le poste de Daboua avec le Niger et l'aéroport d'Amdjarass", a expliqué Mahamat Abali Salah.
Dans le cadre de la mise en oeuvre de la feuille de route sur la libre circulation intégrale des personnes et des biens, la CEMAC a signé un accord d'assistance et d'expertise avec Interpol qui offre un service d'accès au réseau sécurisé mondial de communication policière. L'accord s'élève à un montant d'environ 5 millions d'euros.