Le ministre du Pétrole et de l'Energie, Hamid Mahamat Koua, a mis en garde samedi dernier, les stations d'essence contre le non respect des règles liées à la fourniture du carburant au consommateur. Il s'est exprimé au cours d'une descente dans les centres d'enfutages des bouteilles de gaz butane, et dans quelques stations service, afin de s'assurer du respect des règles de sécurité.
Au cours des contrôles qui se sont déroulés en présence des techniciens de l'Autorité de régulation du secteur pétrolier (ARSAT), certaines stations service ont été épinglées pour la différence de quantité entre le volume payé et celui réellement reçu par le consommateur.
"Le consommateur est en train de perdre. Il perd 1,8% du volume de 10 litres. Or, normalement ce qui est admissible c'est 0,3%. S'il y a récidive, il peut y avoir amende. On peut aller jusqu'à la fermeture de la station", a relevé Hamat Hafadine, technicien de l'ARSAT, lors d'u contrôle d'une station service de la capitale.
D'après le ministre du Pétrole et de l'Energie, Hamid Mahamat Koua, "il y a une infraction, ça veut dire que le consommateur a un manque à gagner qui n'est pas tolérable. En matière de réglementation, la loi est très claire. Une station qui gagne sur le dos du consommateur doit payer pour ce manquement et la loi dit qu'il y a une amende qui doit s'appliquer. La station doit être fermée et se mettre aux normes avant de fonctionner".
D'importantes subventions de l'Etat
"Chaque kilogramme de gaz consommé au Tchad est subventionné à un cout très important. D'ailleurs, rien que pour les trois derniers mois, le Gouvernement a importé du gaz très cher de l'extérieur pour mettre à la disposition de la population moins cher", a souligné le ministre Hamid Mahamat Koua.
D'après lui, au moins 50% des capacités installées au Tchad ont été vérifiées. "Nous sortons satisfaits des dispositions prises. Nous avons fait des recommandations. Du côté du Gouvernement aussi, il y a des efforts à fournir pour encore aller dans l'application de la loi. L'ARSAT est interpellée. C'est la protection du consommateur qui est en jeu aujourd'hui", a-t-il expliqué.
Le Gouvernement a injecté près de 4 milliards Francs CFA pour combler le déficit de production de gaz et répondre à la demande de la population.
Au cours des contrôles qui se sont déroulés en présence des techniciens de l'Autorité de régulation du secteur pétrolier (ARSAT), certaines stations service ont été épinglées pour la différence de quantité entre le volume payé et celui réellement reçu par le consommateur.
"Le consommateur est en train de perdre. Il perd 1,8% du volume de 10 litres. Or, normalement ce qui est admissible c'est 0,3%. S'il y a récidive, il peut y avoir amende. On peut aller jusqu'à la fermeture de la station", a relevé Hamat Hafadine, technicien de l'ARSAT, lors d'u contrôle d'une station service de la capitale.
D'après le ministre du Pétrole et de l'Energie, Hamid Mahamat Koua, "il y a une infraction, ça veut dire que le consommateur a un manque à gagner qui n'est pas tolérable. En matière de réglementation, la loi est très claire. Une station qui gagne sur le dos du consommateur doit payer pour ce manquement et la loi dit qu'il y a une amende qui doit s'appliquer. La station doit être fermée et se mettre aux normes avant de fonctionner".
D'importantes subventions de l'Etat
"Chaque kilogramme de gaz consommé au Tchad est subventionné à un cout très important. D'ailleurs, rien que pour les trois derniers mois, le Gouvernement a importé du gaz très cher de l'extérieur pour mettre à la disposition de la population moins cher", a souligné le ministre Hamid Mahamat Koua.
D'après lui, au moins 50% des capacités installées au Tchad ont été vérifiées. "Nous sortons satisfaits des dispositions prises. Nous avons fait des recommandations. Du côté du Gouvernement aussi, il y a des efforts à fournir pour encore aller dans l'application de la loi. L'ARSAT est interpellée. C'est la protection du consommateur qui est en jeu aujourd'hui", a-t-il expliqué.
Le Gouvernement a injecté près de 4 milliards Francs CFA pour combler le déficit de production de gaz et répondre à la demande de la population.