L’ADHET accuse Amnesty International d’avoir produit un rapport mensonger sur le Tchad. Alwihda Info/D.W.
Le secrétaire général de l’Alliance des défenseurs des droits humains et de l’environnement (ADHET), Abba Daoud Nandjede a fait, mercredi 28 aout, un point de presse relatif aux violences intercommunautaires.
L'ADHET appelle le gouvernement à "plus de diligence dans la mise en œuvre de l’état d’urgence pour ne pas compromettre les droits de l’Homme et les libertés, et à lancer une consultation nationale d’acteurs et de protagonistes en s’ouvrant aux propositions devant contribuer à la recherche des solutions liées à cette crise."
Elle exhorte les différentes communautés au calme et au respect du caractère sacré de la vie humaine, à l’acceptation des différences socioculturelles, ethniques et religieuses, ainsi qu'à l’unité, à la cohabitation et à la paix.
Selon Abba Daoud Nandjede, fidèle à sa politique de prévention, l’ADHET procèdera à "la mise en place des Cadres élargis de veille, de prévention et de gestion pacifique des conflits dans les terroirs aux prises avec les problèmes caractéristiques de changements climatiques et aux conflits."
Il souligne que "des démarches idoines vont être menées auprès du gouvernement pour la facilitation et auprès de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN) dont l'ADHET est membre plénier."
« Tout temps, on laisse se couver, se développer et s’éclater une situation évitable et gérable. Et de façon surprenante, on revient à la charge pour s’en étonner de sa survenance et s’activer inutilement après qu’il y ait mort d’homme pour agir. Or, les autorités administratives ont les moyens et les capacités de prévenir et d’éviter que de tels évènements se produisent. Mais laisser-faire pour ensuite revenir dans une attitude de médecin après la mort est tout simplement scandaleux et criminels », explique Abba Daoud Nandjede.
L'ADHET appelle le gouvernement à "plus de diligence dans la mise en œuvre de l’état d’urgence pour ne pas compromettre les droits de l’Homme et les libertés, et à lancer une consultation nationale d’acteurs et de protagonistes en s’ouvrant aux propositions devant contribuer à la recherche des solutions liées à cette crise."
Elle exhorte les différentes communautés au calme et au respect du caractère sacré de la vie humaine, à l’acceptation des différences socioculturelles, ethniques et religieuses, ainsi qu'à l’unité, à la cohabitation et à la paix.
Selon Abba Daoud Nandjede, fidèle à sa politique de prévention, l’ADHET procèdera à "la mise en place des Cadres élargis de veille, de prévention et de gestion pacifique des conflits dans les terroirs aux prises avec les problèmes caractéristiques de changements climatiques et aux conflits."
Il souligne que "des démarches idoines vont être menées auprès du gouvernement pour la facilitation et auprès de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN) dont l'ADHET est membre plénier."
« Tout temps, on laisse se couver, se développer et s’éclater une situation évitable et gérable. Et de façon surprenante, on revient à la charge pour s’en étonner de sa survenance et s’activer inutilement après qu’il y ait mort d’homme pour agir. Or, les autorités administratives ont les moyens et les capacités de prévenir et d’éviter que de tels évènements se produisent. Mais laisser-faire pour ensuite revenir dans une attitude de médecin après la mort est tout simplement scandaleux et criminels », explique Abba Daoud Nandjede.