Le ministre malien de l’Administration territoriale et porte-parole du gouvernement, colonel Abdoulaye Maïga, a dénoncé le 7 avril l’inexécution de la suspension des sanctions prises par l’Union économique et monétaire ouest-africain (UEMOA).
Le 24 mars, la Cour de justice de l’UEMOA a pris une ordonnance ordonnant le sursis à exécution des sanctions adoptées le 9 janvier par les chefs d’État et de gouvernement de l’UEMOA. Malgré une double notification, ces sanctions financières et économiques sont toujours en vigueur.
Le Mali rappelle que l’ordonnance est d’application immédiate et insusceptible de recours. Pour le gouvernement, il s’agit d’un flagrant déni de justice causant un impact humain et social considérable.
Le ministre Abdoulaye Maïga affirme que “cette posture est influencée par des agendas et pressions extérieurs”. De son côté, l’UEMOA n’a pas encore réagi à cette lenteur dans la levée des sanctions.
Le 24 mars, la Cour de justice de l’UEMOA a pris une ordonnance ordonnant le sursis à exécution des sanctions adoptées le 9 janvier par les chefs d’État et de gouvernement de l’UEMOA. Malgré une double notification, ces sanctions financières et économiques sont toujours en vigueur.
Le Mali rappelle que l’ordonnance est d’application immédiate et insusceptible de recours. Pour le gouvernement, il s’agit d’un flagrant déni de justice causant un impact humain et social considérable.
Le ministre Abdoulaye Maïga affirme que “cette posture est influencée par des agendas et pressions extérieurs”. De son côté, l’UEMOA n’a pas encore réagi à cette lenteur dans la levée des sanctions.