Le président de la fédération du RNDT Le Réveil du Mayo Kebbi Ouest, Dikbo Hubert. © Foka Mapagne/Alwihda Info
Le RNDT- Le Réveil tire la sonnette d'alarme sur les bavures policières dans la sous-préfecture de Lamé. Lors d'un point de presse du président de la fédération du RNDT Le Réveil du Mayo Kebbi Ouest, Dikbo Hubert, a déploré les souffrances des populations locales. Sa réactions porte sur la bavure des éléments de sécurité sur les citoyens de la sous-préfecture de Lamé.
"On ne criera jamais assez notre situation dans cette période de coronavirus", déclare le représentant du coq blanc au Mayo Kebbi Ouest.
"Des individus qui outrepassent leur mission de protection"
Pour la fédération du RNDT Le Réveil, ce qui se passe dans une partie de la sous-préfecture de Lamé l'amène encore à exprimer la position radicale de son parti sur la séquestration de la population par les éléments de sécurité.
Malgré les efforts tous azimuts pour barrer la route à cette maladie, il y a toujours des individus qui outrepassent leur mission de protection de la population en tirant leur épingle du jeu, poursuit-il.
Par ailleurs, Dikbo Hubert dit avoir déjà tiré la sonnette d'alarme sur le cas de la sous-préfecture de Lamé en ce qui concerne les abus, la violence physique et l'arnaque sur la population. Cependant, aujourd'hui, le parti valorise le calme qui règne un peu dans la province, mais déplore qu'une partie de la sous-préfecture de Lamé subit encore la loi de quelques éléments de sécurité.
"Des traitements humiliants et dégradants dans le plus grand silence"
Cette sortie médiatique n'est pas la première du genre. Le coq blanc avait déjà dit que l'application des mesures gouvernementales dans les milieux reculés pose problème, explique Dikbo Hubert. Il évoque le cas du village Toumetchine et ses environnants qui subissent des traitements humiliants et dégradants dans le plus grand silence et loin des regards de l'opinion locale.
"On continue à chicoter les gens même dans la journée parce qu'ils n'ont pas payé ce qui est exigé, en faisant d'eux des prisonniers de plusieurs heures, ainsi que l'arrestation abusive des motos contre des fortes amendes à l'exemple du poste de sécurité de Toumetchine qui est créé pour freiner l'infiltration des malfrats", lâche-t-il.
Le représentant de la fédération du RNDT le Réveil informe que l'indignation de la population à supporter ces traitements humiliants et dégradant risque de crever l'abcès.
"Quand les gens respectent la loi, ce n'est pas une faiblesse, ni la peur"
Le RNDT Le Réveil fidèle à son engagement social de prôner la paix et le bien-être de tous, condamne avec fermeté cette bavure qui perdure. "Il faut dire que quand les gens respectent la loi, se soumettent aux forces de défense et de sécurité, obéissent aux ordres, ce n'est pas une faiblesse, ni la peur mais c'est une éducation, une culture et c'est le patriotisme", souligne-t-il.
Il interpelle le sous-préfet de Lamé, les responsables en charge de la sécurité et la tutelle notamment le préfet du département de Mayo Dallah à s'investir et à s'assumer pour que ces abus sur les paysans et sur les paisibles citoyens d'une partie de la sous-préfecture de Lamé cessent définitivement et immédiatement en cette période agricole.
"Il faut que les gens vaguent aussi normalement à leurs occupations dans le strict respect des différentes mesures", conclut Dikbo Hubert lors de sa sortie médiatique à Pala.
"On ne criera jamais assez notre situation dans cette période de coronavirus", déclare le représentant du coq blanc au Mayo Kebbi Ouest.
"Des individus qui outrepassent leur mission de protection"
Pour la fédération du RNDT Le Réveil, ce qui se passe dans une partie de la sous-préfecture de Lamé l'amène encore à exprimer la position radicale de son parti sur la séquestration de la population par les éléments de sécurité.
Malgré les efforts tous azimuts pour barrer la route à cette maladie, il y a toujours des individus qui outrepassent leur mission de protection de la population en tirant leur épingle du jeu, poursuit-il.
Par ailleurs, Dikbo Hubert dit avoir déjà tiré la sonnette d'alarme sur le cas de la sous-préfecture de Lamé en ce qui concerne les abus, la violence physique et l'arnaque sur la population. Cependant, aujourd'hui, le parti valorise le calme qui règne un peu dans la province, mais déplore qu'une partie de la sous-préfecture de Lamé subit encore la loi de quelques éléments de sécurité.
"Des traitements humiliants et dégradants dans le plus grand silence"
Cette sortie médiatique n'est pas la première du genre. Le coq blanc avait déjà dit que l'application des mesures gouvernementales dans les milieux reculés pose problème, explique Dikbo Hubert. Il évoque le cas du village Toumetchine et ses environnants qui subissent des traitements humiliants et dégradants dans le plus grand silence et loin des regards de l'opinion locale.
"On continue à chicoter les gens même dans la journée parce qu'ils n'ont pas payé ce qui est exigé, en faisant d'eux des prisonniers de plusieurs heures, ainsi que l'arrestation abusive des motos contre des fortes amendes à l'exemple du poste de sécurité de Toumetchine qui est créé pour freiner l'infiltration des malfrats", lâche-t-il.
Le représentant de la fédération du RNDT le Réveil informe que l'indignation de la population à supporter ces traitements humiliants et dégradant risque de crever l'abcès.
"Quand les gens respectent la loi, ce n'est pas une faiblesse, ni la peur"
Le RNDT Le Réveil fidèle à son engagement social de prôner la paix et le bien-être de tous, condamne avec fermeté cette bavure qui perdure. "Il faut dire que quand les gens respectent la loi, se soumettent aux forces de défense et de sécurité, obéissent aux ordres, ce n'est pas une faiblesse, ni la peur mais c'est une éducation, une culture et c'est le patriotisme", souligne-t-il.
Il interpelle le sous-préfet de Lamé, les responsables en charge de la sécurité et la tutelle notamment le préfet du département de Mayo Dallah à s'investir et à s'assumer pour que ces abus sur les paysans et sur les paisibles citoyens d'une partie de la sous-préfecture de Lamé cessent définitivement et immédiatement en cette période agricole.
"Il faut que les gens vaguent aussi normalement à leurs occupations dans le strict respect des différentes mesures", conclut Dikbo Hubert lors de sa sortie médiatique à Pala.